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Montréal, 20 décembre 2003 / No 135 |
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La conférence de presse de M. Sylvio Robinson, président du syndicat des employés de St-Charles-Borromée, et de Mme Francine Lévesque de la FSSS-CSN, le 8 décembre dernier, relativement aux actes commis à l'hôpital, est un affront au bon sens et une preuve de plus que les syndicats se sacrent complètement de l'intérêt public. Lors de ce point de presse, ces deux individus ont déploré la médiatisation du scandale de St-Charles-Borromée, et considèrent les faits publiés comme de simples M. Robinson et Mme Lévesque, les Les chefs syndicaux ont depuis des lunes toujours pris parti pour les pommes pourries parmi leurs membres. Non seulement défendent-ils des salauds comme les tortionnaires de St-Charles-Borromée (qui ont, ironiquement, toujours un emploi à cet hôpital) ou les bums à 2X4 qui ont saccagé l'Hôtel de Ville de Montréal il y a quelques années, mais ils voudraient que l'on se taise devant ces actes barbares? Non, jamais!!! Aux victimes qui ont eu le courage de dénoncer publiquement, via les médias, leurs tortures, je dis bravo! Vous avez eu le courage de prendre le taureau par les cornes. Et à Monsieur Robinson, je conseille vivement de se débarrasser immédiatement des pommes pourries parmi les employés de Saint-Charles-Borromée plutôt que de les défendre, s'il désire redorer quelque soit peu son blason. Normand
Martel
St-Hubert
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Bonjour,
Je lis votre magazine depuis plusieurs années et je le trouve toujours
aussi intéressant.
– Dans un autre épisode, Lisa (la soeur de Bart) fait signer une pétition pour qu'on réduise la pollution lumineuse dans la ville, pour pouvoir observer les étoiles. La population est d'abord enchantée par le projet de loi qui lui est présenté de façon tellement attrayante, mais déchante rapidement en voyant ses conséquences. – Dans un autre épisode, un promoteur réussit à convaincre la ville de construire un monorail, ce qui s'avérera être une catastrophe. Je trouve intéressant qu'une émission de télé aussi imposante que Les Simpsons démontre ainsi la nuisance de nos gouvernements. Vincent
Perron
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