• Plusieurs observateurs notent que la popularité de
Kelly-Gagnon auprès de la gent féminine d'âge mature a été l'une des sources de
son succès. Sa récente conversion, aussi soudaine qu'enthousiaste, en faveur de
la thèse du réchauffement de la planète lui a valu d'être chaleureusement appuyé
tout au long de sa campagne par la quasi totalité des chroniqueurs politiques du
Québec.
•
Kelly-Gagnon déclare: « Quand Jacques est venu me voir pour me présenter son
plan quinquennal pour une mobilisation québécoise transversale multisectorielle
patronale/syndicale/communautaire appuyée par des tables permanentes de
consultation interrégionale et intergénérationnelles, je me suis senti tellement
inspiré que je n'ai pas pu résister à l'appel. Enfin, quelqu'un qui dit les
vraies choses et qui veut vraiment agir! De plus, si nous ne faisons rien pour
lutter contre les changements climatiques, la température risque d'augmenter de
2 à 20 degrés Celsius sur un horizon de 2 à 2000 ans », ajouta Kelly-Gagnon.
• Le lendemain, François Cardinal, chroniqueur environnemental émérite de La
Presse écrit: « La température de la planète va augmenter de 20 degrés
Celsius en 2 ans. C'est un fait scientifique incontestable qui fait consensus. »
• Kelly-Gagnon, diplômé en droit, et son conseiller principal, Steven Guilbeault,
diplômé en théologie, s'établissent rapidement sur la scène internationale en
tant que sommités du mouvement environnementaliste.
• Kelly-Gagnon, au Sommet climatique de Reykjavík, consolide le leadership du
gouvernement du Québec sur la scène mondiale en matière environnementale en
proposant de tenir, à chaque année, deux Sommets de la Terre sur les changements
climatiques. Les Maldives au mois de janvier et la Provence en septembre sont
les sites permanents proposés par Kelly-Gagnon. Les délégués ratifient à
l'unanimité ces propositions.
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