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Montréal, 30 mars 2002 / No 101 |
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Re: ESPRIT CRITIQUE, ES-TU LÀ? (première partie), le QL, no 100. Monsieur Huot, Vous montez au créneau pour mettre en garde les Je vous vous prie de recevoir mes salutations distinguées, Pascale
Mahieu
Jouarre,
France
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Re.: ESPRIT CRITIQUE, ES-TU LÀ? (première partie), le QL, no 100. Bonjour, J'ai noté l'intérêt que vous portez au Ritalin dans votre article. En France, premier consommateur en Europe de tranquillisants, il existe une forte prise de conscience du caractère nocif des médicaments du style Ritalin. Lorqu'on connaît l'implication des laboratoires français dans la politique de santé du gouvernement, on mesure le chemin parcouru. Je suis cependant très étonné par vos propos. La façon fort peu scientifique dont vous traitez la Scientologie (qui a fait l'objet d'études exhaustives de la part de spécialistes) fait planer un doute sérieux quant au reste de vos assertions. Le ministère de l'Éducation nationale, en France, vient d'abandonner pour l'enseignement de la lecture la méthode semi-globale mise au point par des psychologues, laquelle est plus sûrement à l'origine de tout déficit d'attention qu'une quelconque maladie mentale. Cordialement, Olivier
Dorlain
France
Re.: Prix Béquille de bronze, le QL, no 97. Je viens de prendre connaissance de vos propos à mon égards dans une de vos récentes éditions. Notamment, Pascal
Bérubé, président
Comité
national des Jeunes du Parti Québécois
Réponse de Martin Masse: Monsieur Bérubé, Toutes mes excuses pour l'utilisation de cette expression, qui a sans doute dépassé ma pensée. En effet, les fascistes souhaitent l'uniformisation de la pensée et de l'information dans le but d'imposer leur idéologie étatiste, alors que vous demandez la création d'un Le Prix Béquille de bronze modifié se lit comme suit: LA BÉQUILLE DE BRONZE au président du Comité national (sic) des jeunes du Parti québécois, Pascal Bérubé, qui réclame l'intervention de l'État pour régler les soi-disant problèmes de la concentration de la presse. Selon le président des ti-culs péquistes, (Source: La Presse) M.
M.
Bonjour, Que devrions-nous faire de notre monnaie canadienne? Au lieu d'adopter le dollar américain comme monnaie d'échange pourquoi ne pas adopter la convertibilité-or de notre propre monnaie? En effet, cela nous éviterait de sombrer dans l'illusion que tout est sous contrôle, car entre les mains de la puissante Réserve fédérale (banque centrale américaine). Cela nous éviterait également une crise du type qui se déroule en Argentine à l'heure actuelle et plus important encore cela nous permettrait de corriger une des grandes injustices des quelque 300 dernières années: l'inflation. Mais afin de bien circonscrire celle-ci, il faudrait également abolir son créateur, le responsable, la banque centrale, et le système de fractionnement bancaire qui s'y rattache et qui permet aux banques de prêter plus d'argent qu'elles n'en possèdent par l'entremise de la La convertibilité-or de notre propre monnaie, par contre, aurait tôt fait de circonscrire l'inflation et la pauvreté qui s'ensuit et mettrait également fin aux privilèges. De plus, lorsque l'investisseur étranger réalisera que notre monnaie ne se déprécie plus relativement aux autres monnaies, il y investira ses capitaux. Ainsi, non seulement aurions-nous un système plus juste, mais peut-être pourrions-nous même inverser les rôles et devenir le pays à la monnaie refuge! Qui sait? André
Dorais
N.B.: Ces idées sont tirées de Mystery of Banking de Murray N. Rothbard, disponible en format pdf |
Si vous en avez marre de vivre dans une société où l'hystérie nationaliste domine tous les débats; dans un pays où les taxes, les réglementations omniprésentes et le paternalisme des gouvernements briment la liberté individuelle et restreignent le dynamisme économique; dans une culture où le moutonnisme et l'égalité dans la médiocrité sont plus valorisés que l'individualisme et la compétition; dans un monde intellectuel où les prétendus |
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