Montréal, 4 déc. - 17 déc. 1999 |
Numéro
51
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Faudrait aussi arrêter de penser que les autres personnes à
l'extérieur du Québec ne nous aiment pas. Il suffit d'y aller
et de constater que ce que les journalistes séparatistes racontent
n'est que leurs versions. Ils profitent du fait que plusieurs Québécois
ne sortent jamais du Québec et croient que tout le monde leur en
De quoi parle-t-on encore aujourd'hui? Eh oui, de référendum et de conditions gagnantes. On se croirait en 1980. On radote, on fait du surplace, les autres avancent, progressent et un jour on va se réveiller et le Québec sera une des provinces les moins productives, dépassée depuis longtemps par les autres. Je crois que c'est déjà commencé. Bientôt, plus personne ne se préoccupera de ce qui se passe ici et on sera surpris... on sera indigné... plus personne ne nous aimera... Jean Malo
Beloeil
Bonjour! Moi aussi j'ai découvert l'existence de votre site web au cours du journal télévisé du 18 novembre dernier et je me suis senti soudain moins seul dans ma réflexion politique et mes pensées libertaires (ou libertariennes). C'est un travail courageux que vous faites là, surtout quand tout le discours politique de ces vingt-cinq dernières années a consisté à anesthésier la pensée politique pour que le citoyen ne voie qu'un seul discours politiquement correct, celui du national-socialisme québécois version PQ. Si certaines idées et certaines révolutions sont nécessaires dans l'Histoire pour faire évoluer une société figée comme l'était la société québécoise au début de la révolution tranquille sous la chape de plomb de l'Église, ces idées et toutes les structures qui en sont leurs émanations ont fait leur temps et il est l'heure de passer à autre chose, bref d'évoluer vers une autre étape que celle de recréer l'histoire des nationalismes à reculons en prenant la population fatiguée en otage. Sur un plan immédiat, je constate que les socialo-gaspilleurs de l'argent du peuple nous ont concocté machiavéliquement des coupes dans les deux secteurs les plus sensibles pour la population – la santé et l'éducation – afin de mieux faire accepter les pressions fiscales présentes et futures. Il faut être pas mal intoxiqué pour ne pas se rendre compte que cette fiscalité nous appauvrit individuellement et collectivement (la médiocre performance de l'économie québécoise est une insulte à l'intelligence). Ils se sont gardés, par contre, de toucher aux autres secteurs moins visibles de l'État-je-contrôle-tout. Le scénario est ainsi en place pour repartir de plus belle vers les errements du passé en matière de dépenses publiques, encouragé en cela par le choeur avide des syndicats corporatistes. Longue vie au Québécois Libre! Jean-Patrick Daldébaran
Moi, je voudrais simplement recevoir une réponse de Monsieur F. Lafrenière qui, malheureusement, ne visitera plus ce site qu'il qualifie de merdique (voir QUELQUES RÉACTIONS... DANS LE DÉSORDRE, le QL, La propagande et la désinformation, malheureusement, Monsieur Lafrenière, avec tout le respect que je vous dois, c'est vous qui les subissez. Oui, c'est une triste histoire, ils ont réussi à vous enfoncer la tête dans le sable comme ils ont réussi à le faire à des milliers de personnes comme vous. Oui, il faut critiquer le Québec, oui, il faut remettre notre système en question... oui l'UNESCO dit que c'est le meilleur pays au monde, mais l'UNESCO n'a pas fait une analyse du Québec, mais du CANADA, ce qui comporte une majorité de la population hors-Québec, 7 millions contre 23 millions!!!!!! Le premier ministre de l'Aberta est venu en visite officielle au Québec et nous a annoncé quelque chose de grandiose, le saviez-vous? Que l'Alberta va éliminer tout impôt provincial en 2004, pas mal non? C'est HORS Québec qu'il fait bon vivre, mais nous sommes ici. Nous devons faire quelque chose pour en sortir de ce merdier, pas de ce site merdique, MAIS DE CE MERDIER! Joane Gagnon
Re: Votre NDLR à la fin d'une lettre de lecteur: Note d'un passant: Ayant lu à quel point votre argumentaire est profond, je crois que je ne ferai que passer.... Peut-être reviendrai-je dans un an, pour voir si vous avez maturé. Quand on a pas un minimum de respect pour une opinion (ou un opinieur) divergente, on ne mérite pas d'être lu. Pensez-y, ou périssez. Yo! Gilles Turcotte
33 ans, professionnel et de droite
(respectueux des idées,
à défaut du système)
Québec
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